On appelait celui-ci la Maison des Mathoms, car tout ce pour quoi les Hobbits n’avaient pas d’usage immédiat, mais qu’ils ne voulaient pas jeter, ils le nommaient un mathom. Leurs demeures avaient tendance à être un peu encombrées de mathoms, et maints cadeaux qui passaient de main en main étaient de cette sorte.
Le Seigneur des Anneaux, Prologue – I « Des Hobbits », traduction de Francis Ledoux.
Cette section du site rassemble en conséquence tout ce qui ne trouve guère sa place ailleurs.