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San ninqeruvisse lútier
kiryasse Earendil or vea, ar laiqali linqi falmari langon veakiryo kírier; wingildin o silqelosseën alkantaméren úrio kalmainen; i lunte linganer, tyulmin talalínen aiqalin kautáron, i súru laustaner. |
Alors sur un cheval blanc naviguait
Earendel, sur un vaisseau, sur la mer, et la gorge du navire fendait le flot des vagues vertes. Les vierges d’écume aux cheveux d’une blancheur florale le faisaient briller aux rayons du soleil ; le bateau vibrait telle la corde d’une harpe ; les grands mâts ployaient sous les voiles ; le vent « laustait » (ne rugissait ni ne s’élançait, mais faisait un bruit de vent). |